Chronologie

Echange de courriers entre l'ESJ et Mme M

Echange de courriers entre Radio France et Mme M

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Soutiens

Intervention de Mme M au colloque organisé par le CIEMI (centre d'information et d'étude sur les migrations)

Le financement. A qui profite la diversité?

Enquête sur le financement de l'ESJ

La diversité vue par Radio France et l'ESJ

 

 

 

La formation est prise en charge par l'AFDAS dans le cadre du contrat de professionalisation (cf. plaquette)
Comme indiqué dans le document ci-dessus ces contrats permettent:

- la prise en charge du coût de la formation

- des réductions de charges sociales

- de rémunérer le salarié en dessous du salaire conventionnel

- des primes pour l'entreprise qui embauche un salarié en contrat de professionalisation

- une prise en charge des frais de transport et d'hébergement du stagiaire

Comme on le voit, Radio France bénéficie donc de journalistes labellisés « diversité » à un moindre coût et opérationnels très rapidement (en effet, les tests de recrutement sont basés sur les aptitudes journalistiques des candidats. On leur demandera par exemple de faire un papier radio!) dans le cadre d’une démarche présentée comme volontariste pour valoriser l’image de ce groupe alors qu’il apparaît fort probable que la diversité devienne bientôt une obligation.

L’école supérieure de journalisme medias SA quant à elle bénéficie d’un financement de 11 158,20€ par étudiant et remplit ses classes par la même occasion (cf. convention de formation).

Sur cette convention, on s'aperçoit que l'ESJ médias SA facture même les heures passées en entreprise pendant lesquelles les satgiaires sont occupés à traiter les exercices de l'école! (1120 heures (total facturé) - 552 heures de formation sur le site = 568h soit plus de la moitié!) (cf.présentation de la formation)

Par ailleurs, l'ESJ Lille entretient ses bonnes relations avec Radio France et continue de percevoir une partie de la contribution de Radio France à la formation professionnelle

Tout cela est, bien entendu, de l'argent public puisque Radio France vit en grande partie de la redevance audiovisuelle.